9/11/2017

Des-fou-loir

Avant de critiquer les gens,
 de juger leurs réactions, 
Essayez de comprendre ce qui les à poussé à réagir ainsi.


On ne choisit pas sa vie, nous somme rangés dans des cases sociales,
des genres de musique, dirigés par la consommation, les effets de mode.
Même un marginal est classé dans la case inclassable ... 
La liberté est illusoire, on n'est même pas libre de mourir. 
La vie n'est pas un choix, la mort non plus.
Tu nais pauvre, t'as pas ce que tu mérite, ni les meilleures affaires de cours, 
ni les meilleures écoles, et ni les meilleurs camarades.
Tu nais handicapé, t'es pas égal aux valides.
La fraternité elle se résume derrière un écran par un like et un commentaire.
Je suis dépressive, mais expliquez moi comment ne pas l'être dans un monde pareil?
Les drogues illégales arrivent jusqu'à moi, pauvre jeune fille perdue, elles trouvent bien le chemins face à la non autorité qui soi disant protège les civils.
Et l'alcool on en parle des ravages? sur des millions de foyer, et c'est abordable à tous dans chaque commerce. Ah ouais sauf aux mineurs qui iront piocher dans le buffet à papa et maman.
Moi je dis juste que ma maladie avec les conséquences physique que ça a, 
c'est beaucoup mais rien à coté de ma souffrance mentale.
Et à la limite cela me rassure de ne pas être adapté à cette société corrompue.
Ce qui me rassure moins c'est de ne plus être adaptée à mes envies,
à mes attentes, à ma vie en général...

Alors souris à la vie et elle te sourira, pour tout ce qu'elle m'a pris, je ne la remercierais pas.


Aucun commentaire:

ça a commencé comme ça

Po urtant J'essaie de reprendre pied, de ne pas angoisser à longueur de journée sans toi Pourtant J'essaie de ne pas me laisser...